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Famille Cattiaux - Pruvot

Voici l’histoire  des parents de Laure Cattiaux, future épouse d’Henri Dervillé,:


Jean Baptiste Alexandre CATTIAUX (1859-1935)

Marié à

Blanche Laure PRUVOT (1865-1953)

Mariage 16 mai 1885 Beaurain, 59, Nord, FRANCE

Receveur Contributions indirectes à Cambrai, et Crécy sur serre 1905
-Puis contrôleur de contribution Indirectes à St Amand 1905-1907, à Soissons 1907-1911
-receveur sédentaire particulier des contributions indirectes à Amiens 1911
-entreposeur des tabacs à château Thiery 1918-1923
-puis en retraite à Mantes en 1923

 

Sans profession

Naissance 12 nov. 1859 Beaurain, 59730, Nord-Pas-de-Calais, FRANCE

Décès 1 mai 1935 Mantes la Jolie, Yvelines, Ile de France, FRANCE

 

Naissance 27 févr. 1865 Beaurain (59), Nord

Décès 1 mars 1953 Moret sur Loing, 77, Seine et Marne, Ile de France, FRANCE

Ses parents,
Son père :
Jean Baptiste Joseph CATTIAUX CATEAUX (1828-1888)
Maréchal ferrant rentier Beaurain
Naissance 5 févr. 1828 Thun-Saint-Martin, 59141, Nord-Pas-de-Calais, FRANCE
Décès 29 janv. 1888 Beaurain, 59, Nord, FRANCE

Sa mère
Mariage 25 avr. 1854 - Beaurain, 59, Nord, FRANCE
Sophie BOUEZ BOUET (1837-1898)
Fileuse ménagère puis rentière
Naissance 14 févr. 1837 Solesmes, 59, 59, Nord, FRANCE
Décès 1 mai 1898 Beaurain, 59, Nord, France

 

Ses parents,
Son père
Adolphe (Aimable) Zéphirin PRUVOT (1827-1899)
cultivateur, à Solesmes, Beaurain (59)
Naissance 23.07.1827 - Solesmes (59)

Décès 17.03.1899 - Beaurain (59) , Nord, FRANCE

Sa mère
mariés 08 avr. 1861 - Maresches (59990), Nord, FRANCE
Ernestine SUEUR (1834-1916) - Cultivatrice Beaurain
Naissance 19 juin1834 - Maresches (59990)

Décès 28 novembre 1916 - Solesmes (59730), Nord, France

 

Naissance de leur fille en 1886


CATTIAUX Laure Alcidie (1886-1939) voir Famille Dervillé - Cattiaux

Sans profession

Naissance 31.12.1886 - Beaurain (59)
Décès 18.09.1939 - Mantes la Jolie (78)

 

genea laure cat

 

Leurs lieux de vie et échanges de correspondances avec la famille ou les amis

Les Cattiaux habitent rue des Baudriers non loin de la rue d’Ovillers où habitent les Pruvot.


L’Église

La mairie, rue des Baudriers (Cattiaux) rue d’Ovillers (Pruvot)

Rue du vert buisson

La mairie

Rue principale

 

Le beffroi

 

Intérieur de l’église

Voici une succession de correspondances échangées et retrouvées de l’époque comme on l’a dit en préambule des relations de Monsieur et Madame Cattiaux.
Le 11/08/1899, ils demeurent donc toujours à Crécy sur serre, rue du vert buisson dans l’Aisne.
Mr Cattiaux est receveur des Contributions Indirectes, à cette date ils ont respectivement lui 40 ans, sa femme 34 ans et leur fille Laure 13 ans.
Ils connaissent « Monsieur et Madame Pernis » ainsi qu'à la maison « Damisix et amis ». Ainsi que Brazer et Virgile.
Un certain  « Pierre » habitant les Vosges écrit « le congé s'est très bien passé jusqu'à ce jour, je vais voir mon frère à Belfort. Je rentrerai le 18 aout à Pouilly au train de 8h1/4 matin pour reprendre service ce jour. Respects à Mme Cattiaux et amitiés à « Mr et Mme Pernis » ainsi qu'à la maison « Damisix et amis » !!! Cordiale poignée de main »
On ne retrouve pas de courrier entre cette date et 1905:
Entre temps Laure Alcidie épouse Henri Dervillé, à Crécy, le 10 juin 1905.

Le 11 juin 1905, de « Mr Brazer » militaire d’Epernay  (marne) « mes meilleurs souhaits aux jeunes époux. Regrette énormément n'avoir pu être des vôtres Amitiés à Virgile », reçu juste le lendemain du mariage de leur fille le 10 juin 1905.
Le 23 juin 1905, dans un courrier de Laure relate : « amitiés de Mr et Mme Leclerc » sœur d’Henri.
En aout 1905, de la part de « E Potelle » de Compiègne (oise), ami d’Henri « Cher Monsieur et chère Madame je suis rentré à Compiègne par Tergnier car à Laon nous avons appris qu'il y avait un train qui correspondait. Je suis arrivé à 9h18 et ai fait un bon voyage conservant un excellent souvenir de mon séjour chez vous je vous en remercie infiniment ».
Le 23 aout 1905 de la part de « Berthe » à Laon (aisne) « Chers amis je viens vous annoncer mon succès au brevet élémentaire. Je suis bien contente et je vais pouvoir me reposer un peu car je suis souffrante ».
De leur fille laure, même date « Il est regrettable que vous ne puissiez pas faire la cueillette des fruits, peut-être y a-t-il des poires qui commencent à murir. Que vas-tu faire du cheval et de la voiture ». « Nous sommes très heureux d'apprendre ta nomination de contrôleur pour St Amand et que ton désir s'est réalisé »
Le 28 aout 1905, de « E Sueur » de Maresches (nord), la mère de Blanche « Nous vous félicitons très sincèrement de votre nouvelle nomination. Nous en sommes doublement heureux à cause de votre rapprochement qui nous procurera le plaisir de nous voir plus souvent. Papa et maman ont été samedi à Ovillers et ont trouvé tante et Ernest en meilleur santé. Recevez nos bonnes amitiés ».
Même date, de  « veuve Dervillé » mère d’Henri à Remy (oise) « Je vous félicite de votre avancement. Je souhaite que vous trouviez votre nouvelle résidence aussi agréable  que l'ancienne mille amitiés ».
Le 5 septembre, de la part de la famille « Maillard A » de Laon (Aisne) « Chers amis nous arriverons à crécy si mon indicateur est encore bon, ce que j'espère à 11h16. à bientôt nous vous embrassons ».
Le 17 septembre 1905, toujours de « Mr Maillard » à sr Quentin (Aisne) « Mes chers enfants, votre mère arrivera à crécy demain lundi par le train de midi 1/2 venant de Pouilly. Tous nos compliments à votre charmante amphitryon. Nos meilleurs baisers ».
Le 22 septembre 1905, de Mr Cattiaux à st Amand (nord) à Blanche sa femme, « J’ai reçu ce matin une lettre de Veynes, les enfants sont en bonne santé. J'espère rentrer à crécy le 26 sept par le train de 6h1/2 du soir à Pouilly. J’ai écrit à M Pérconnert pour avoir un  wagon le 27 au matin, tu ferais bien d'aller jusqu'à la gare et de lui rappeler de ne pas nous oublier. Il faudrait aussi aller chez M Bivonne pour leur dire de rappeler à Mme Pernin de ne pas oublier ma demande pour le transport en franchise des boissons. Ton époux.  Il faudra également aller voir Huon pour lui demander s'il pourra enlever le mobilier le 27 autant que possible..... allez le plus vite possible
Monsieur et Madame Cattiaux, vivent sur cette commune jusqu’au 23 septembre 1905.

faubourg de Tournai

La rue d’Orchies

La place et la rue Thiers

Le 8 novembre 1905, de la part de « J Marcq » de Lille (nord) « Merci de votre aimable invitation, nous n'en profiterons pas cette année, préférant attendre que vous soyez installés définitivement. Comme vous n'avez pas les mêmes raisons, quand il vous plaira de venir passer avec nous un dimanche prévenez nous la veille. Toutes nos félicitations pour l'heureux rapprochement de vos enfants. Les nôtres viennent de s'éloigner un peu plus. Tout en s'améliorant un peu la santé d'Émilie nous donne toujours de l'inquiétude. Cordiales poignées de main ».
Le 13 novembre 1905, de la part d’ « Anna et Louis » de Ferrières, Wattignies (nord) « cher frère, chère sœur. Nous avons reçu une carte de Laure le lendemain de la vôtre. Elle est bien heureuse  de vous rapprocher car elle est bien heureuse de vous revoir. Nous sommes très satisfaits de savoir que vous vous plaisez bien à St Amand. Mais nous avons bien regretté de ne pas vous avoir à Maubeuge. Ne pourrez-vous pas revenir par ici au lieu de rentrer directement à St Amand. On ne vous détourne pas du tout et vous pourrez nous donné des nouvelles du jeune ménage. Embrassez les bien fort tous les deux pour nous. On leur enverra un mot plus tard. En attendant de vous voir. Nous vous embrassons de tout cœur votre.
Fin 1905, de la famille « Bonnet » de Crécy sur serre (aisne) « merci de votre bon souvenir. Mr Drouet votre successeur a pris son service lundi, il habite la maison de Mr Grisot ou pour mieux dire celle qui était occupé par Mme Paradis dans la grande rue, il a 2 enfants, un garçon de 17 ans et un autre de 11 ans. Votre maison n'est pas occupée et elle est à vendre. Mme Bonne avec les enfants sont rentrés depuis 8 jours. La petite famille se porte bien et j'espère qu'il en sera de même chez vous. Veuillez présenter mes respects à Mme Cattiaux. Votre tout dévoué.
Le 9 janvier 1906, de Laure à poissons (hte marne) « Nous sommes content que père aille mieux »
Le 24 janvier 1906, de famille « Pruvot Pavot »  à Ferriére, (nord) « souhaits sincères de toute la famille »
Le 7 mai 1906, de « Georgette » de Valenciennes (nord) « mille bons baisers ».
Le 20 aout 1906, de « J.Naicd » Mouscron, Belgique « chers amis nous pensons arriver à St Amand demain mercredi par le train de 7h du soir venant de Lille amitiés ».
Le 9 novembre 1906, de « Mme Bonnet » de Crécy sur serre (aisne) « Madame et les enfants se joignent à moi pour vous envoyer leurs plus sincère salutations ».
Le 31 décembre 1906, de « Louise » Coucy les eppes (aisne) « meilleurs vœux bons baisers »
Le 26 février 1907, de « Laure et Henri » leurs enfants de Poissons (hte marne) à leur mère «bon anniversaire et mille baisers »
Le 8 mai 1907, de « Georgette » de Valenciennes (nord) écrit «si cela vous dérangeait répondez par courrier. Bien chers amis nous comptons aller vous dire au revoir demain jeudi après-midi. Amitiés à toute la famille un baiser à tous ».

14 rue Debordeaux

Fontaine de la Grande Place

Le Port

Le 10 mai 1907, de « Mr A B » à Nouvion, (Aisne) « amitiés »
Le 18 juin 1907, de « Louise »  Laon (Aisne) « je suis reçue au brevet je vous embrasse bien fort ».
Le 26 juillet 1907, de « André Leclerc- Desjeune » Remy (Oise) « j'ai reçu avec plaisir, et je vous en remercie, votre aimable invitation pour dimanche prochain et c'est à mon grand regret qu'il me sera impossible d'aller à Soissons ce jour-là. Marcel qui est revenu d’Angleterre est ici pour quelques jours et sa mère doit venir samedi soir pour passer la journée de dimanche avec nous. Ce n'est du reste que partie remise et je compte bien faire ce voyage prochainement et c'est malheureux que la fête n'ait pas lieu un peu plus tard. Toute la maison se joint à moi pour vous envoyer nos meilleurs amitiés ».
Le 23 aout 1907, « amitiés » de « B ». Le Nouvion, (Aisne).
Le 20 octobre 1907, de Laure à Poissons (haute Marne) « chers parents, je vous écrirai une longue lettre demain. Nous n'avons toujours pas de réponse de Tourcoing. Merci beaucoup du mandat. A bientôt de bonnes nouvelles. Bons baisers milles bises »
Le 6janvier 1908, de laure à Poisssons (haute Marne) « chers parents Nous vous remercions mille fois de vos douceurs, la pâtisserie était excellente. J'ai été très contente de la surprise. J'ai reçu ce matin seulement votre carte elle a mis le temps du 3/10 au 6/1. Mon oncle Aloide nous écrit aujourd'hui. A bientôt de vos nouvelles. Merci beaucoup de vos souhaits. Recevez nos meilleures embrassades. Nous sommes allés à Joinville hier après-midi. Nous attendons le bulletin. »
Le 14 janvier 1908, de « Pruvot Parot » (pavot) «vœux et souhaits sincères de toute la famille »
Le 28 février 1908, de Laure à Poissons, (Hte marne) écrit à ses parents « Nos meilleurs souhaits pour ton anniversaire meilleurs embrassades à tous les deux ».
Le 8 juin 1908, de « Jules Cauderlier » « camp de Chalons, suis à Mourmelon (marne), Paris demain mardi aux manœuvres logerons Soissons arriverons en gare vers 9 h »
Le 25 juin 1908, de Laure à Ourville (seine inférieure) où elle a déménagé en venant de Poissons (Hte Marne) « chers parents Mère serait bien aimable de me dire combien il faut prendre de mètres d'étoffe pour faire une robe (largeur 1m30) et combien de doublure? Quel genre pour aller avec la chemisette ? Je voudrais être fixée du ….pour faire ma commande. J'ai rencontré dimanche dernier la mère de Mr Pouache (pharmacien) qui habite Ourville. A bientôt et recevez nos meilleurs baisers »
Le 9 aout 1908, de Henri toujours en (seine inférieure) « chers parents Laure désirerait que vous vinssiez le plus tôt que vous pourrez Elle a commandé de la toile de laine et de la doublure. Elle vient d'acheter son chapeau à Fécamp la jupe va être faite aussitôt Ne pourriez-vous envoyer un modèle de corsage  et des entre deux? Le plus tôt possible? Nous pensons aller au circuit de Dieppe le 7 juillet et Laure voudrait être nippée pour ce jour-là A bientôt et nos meilleurs baisers Bons baisers (Laure) expliquer de quelle façon il faut faire le pli à la religieuse et combien! les maçons ne sont plus chez nous. Il vaut mieux que vous veniez dès maintenant car dans un mois nous aurons probablement les peintres. »
Le 1 octobre 1908, de « H. Teutijace » de Clairvaux caserne dans l’(Aube) « respectueux souvenirs »
Le 22 novembre 1908, de « Hermans » Neufchateau, (Vosges), 12e batt 39e R d'art. « Vous avez du déjà penser que je vous avais oubliés et bien non, j'ai attendu pour vous écrire de voir si ma nouvelle profession me plaisait, je vous dirai que je commence à m'habituer mais c'est dur en ce sens que nous n'avons guère de temps à nous. Je suis dans la même batterie que Bentjac qui a à souffrir il est déjà bien maigri et n'est plus enchanté de servir dans la cavalerie, quant à moi c'est le contraire et maintenant j'ai une toute autre idée du cheval. J'espère que de votre côté tout va bien et que la fin de l'année s'avance. Recevez monsieur le contrôleur mes bien sincères salutations ».
Le 10 décembre 1908, « Mr. Bonne », (Aisne) « un bonjour de Mortiers ».
Le 1 janvier 1909, de « Mr Dhaussy » Laon, (Aisne) « bon souvenir ».
Le 2 janvier 1909, de « H. Teutijace » de Clairvaux, (Aube) « respectueux vœux »
Le 23 avril 1909, Monsieur et Madame Cattiaux sont rentrés après avoir fait le voyage de Senonches pour visiter le nouveau logement de leur fille Laure, ils sont arrivés le mardi 12 avril à Senonches. Laure leur demande s’ils ont trouvé du changement dans votre jardin ? Elle leur envoie un petit colis contenant les bégonias.
Le 5 mai 1909, de « Jules et Adèle Cauderlier », habitant Boulogne sur mer, (Pas de calais) « Bonjour ».
Le 13 juin1909, de Laure à Senonches (Eure et loir) « bonne fête » à son père pour la St Jean.
Le 28 juin 1909, de « Mr. Bonnet ou E. Bonne », à Crécy sur serre, (Aisne) « j'ai un peu tardé à vous répondre je vous prie de m'excuser j'ai eu des ennuis qui sont un peu cause de ma négligence. Je suis allé deux fois dans les Ardennes en très peu de temps mon frère a perdu une petite fille de 11 ans et il n'avait quelle c'est un vide énorme. Je pars après demain matin pour faire 21 jours au camp de Coëtquidant près de Rennes. Mes respects à Mme Cattiaux avec les amitiés de toute la famille. ». Et aussi le 9 juillet 1909 « mes meilleures salutations » du camp de Coëtquidant pour ses dits 21 jours.
Le 1 juillet 1909, « Mr. Maillard A » de Laon (Aisne) et aussi de Denain, bvd de Bruxelles, (Nord) « bien chers amis - j'ai le plaisir de vous apprendre que Geneviève vient de subir avec succès les examens du brevet élémentaire devant la commission siégeant à Laon. Quand viendrez-vous à Denain. Que vous devenez vous. Comment vont vos enfants? Je vous embrasse affectueusement ». Et le 11 juillet1909 « J'ai le plaisir de vous apprendre que Louise vient d'être reçue au brevet supérieur. Geneviève a été reçue au brevet et va se présenter à l'école normale le 26/7. Quand viendrez-vous?  Nous vous embrassons bien affectueusement. Amitiés à vos enfants».
Le 17 juillet et 20 juillet 1909, de « Paul Cauderlier » leur neveu, du camp de Sissonne (Aisne), « cher oncle et tante comme je vous l'avais annoncé hier j'ai obtenu une permission. J'arriverai avec le train de 8h16 venant de Laon. Recevez chers oncle et tante mes sincères amitiés » et « mon retour s'est bien effectué à l'heure où vous recevez ma carte nous serons déjà loin de Sissonne. Recevez chers oncle et tante mes meilleurs amitiés votre neveu.
Le 22 juillet 1909, de « Mr. Laurent » d’Aubenton, (Aisne) « bon souvenir ».
Le 28 juillet1909, de « M. Autrans.. » de Chavignon, (Aisne) « Nous avons eu un bon retour et espérons qu'il en a été de même pour M Cattiaux qui a pris beaucoup de dérangement pour nous conduire à la gare. Encore une fois mille remerciements du bon accueil et recevez nos meilleurs amitiés ».
Le 13 aout 1909, de « Mme veuve P. Moreau » de Chauny (Aisne) « meilleurs amitiés et à bientôt ».
Le 12 et 24 septembre 1909, de « H Besnard », à Sennonches (Eure et Loir) « Notre souvenir – Pensées affectueuses ».
Le 20 octobre 1909, de « Mr. Julaval » de Boulogne sur mer (Pas de Calais) « sommes rentrés amitiés ».
Le 31 décembre 1909, de « H (Teutijce ) Teutijace », Neufchâteau (Vosges) « sincères vœux pour 1910 ».
Le 2 février 1910 et le 18 février, de « Guy et Jean », Cuffies (Aisne) « affectueux bonjour – Bon souvenir- amitiés ».
Le 13 février 1910, de « M. Canu » à Courrières (Pas de calais), « mon cher collègue je viens vous adresser tous mes remerciements au sujet de la vacance de Soissons et vous faire connaitre que ma demande est adressée depuis quelques jours. Il n'existe en effet ici aucune ressource pour l'instruction de mes enfants à cause du défaut de communications faciles avec Lille ou Douai. J'apprends à l'instant la mort de mon ancien Ref si bienveillant ........; veuillez ..........mon cher ......... ».
Le 8 avril 1910, de « Mr.L Dhaussy » à Pargny F(p)ilain, (Aisne) « bon  souvenir meilleurs amitiés ».
Le 2 mai 1910, de « Mr. Bonne » à Crecy sur serre (Aisne) «  bon souvenir ».
Le 30 aout 1910, de « Mme veuve P. Moreau » à Chauny (Aisne) « chère amie, je viens de me rappeler que j'avais oublié de vous payer les prunes du marché. Si dimanche vous venez, ce que j'espère sera je vous les ….Le père de ma cousine a la petite tête…. Ramollissement complet du cerveau. Mon cousin est toujours là-bas c'est bien ennuyeux dans le commerce l'on ne peut jamais quitter à deux, ma cousine est très contrariée. Recevez ainsi que M Cattiaux mes meilleures amitiés.».
Le 5 septembre 1910, de « Jules et Adèle » Lille (Nord) « fêtons la braderie »
Le 7 septembre 1910, de « Mr. Bonne? »  à Montcornet (Aisne) « bon souvenir »
Le 1 octobre, le 11 octobre, le 18 octobre ainsi que le 28 octobre 1910 de « Georgette » Laon (Aisne) « souvenir affectueux-amitiés - amical bonjour».
Le 13 novembre 1910, de « Bonnet » d’Amiens, (Somme) « amitiés bon souvenir »
Le 17 décembre 1910, « Mr. Blanchet » de Laon (Aisne)  « affectueux souvenir »
Fin 1910, de « Clotilde »  « Les enfants Edmond et moi s'empressons de venir vous offrir nos meilleurs souhaits de bonne année et bonne santé ainsi que nos sentiments les plus respectueux » pour 2011.
Le 17 janvier 1911, « Mr. Blanchet » de Laon (Aisne) « Amical bonjour ».

2 rue Porion

Hôtel de Ville

Place René Goblet

Le 2 février 1911, de « Mr.R Marchand » à Soissons, (Aisne), « remerciements meilleurs amitiés »
Le 9 février 1911, de « Mr. Fonjet » à Soissons, (Aisne) « merci de votre carte et affectueux souvenir »
Le 18 février 1911, de « Emm…… » Pasly et à Soissons, (Aisne) «chère madame Merci de votre carte. Vous habituez vous un peu à votre nouvelle résidence. Ici rien de nouveau les jours se suivent et se ressemblent tous. Nous nous portons bien et je souhaite qu'il en soit de même chez vous. Nos respectueuses amitiés à M Cattiaux et pour vous de bons baisers d'Yvette et de moi. Bonjour à mon cher mari quand vous le verrez. Et 8 mars 1911, « chers amis, merci pour votre gentille lettre, mon mari a du voir porter mes compliments et mes affectueuses tendresses. Maman est malade, j'espère que ça ne sera pas grave. J'ai bien de soucis et les épines que trouvent Mme Cattiaux sur son chemin seraient des roses pour moi. Je lui souhaite bon courage à vous deux mes meilleures amitiés ».
Le 30 avril 1911, de « Madeleine » vivant à Abbeville (Somme) « amitiés ».
Le 2 mai 1911, d’« Olga Renée Dewingle », à Haussy (Nord) « bonjour »
Les 5 et 6 juin 1911, de « jules et adèle Cauderlier » Wimerieux (Somme) et Boulogne sur mer (Pas de calais) « amitiés-ai eu 30F-bonjour-bonjour à tous ».
Le 9 juillet 1911, de « S Djary » au Tréport  (seine inférieure) « amical bonjour ».
Le 11 décembre 1911, d’ « Olga Renée Dewingle », à Haussy (Nord) « bonjour de toute la famille »
En décembre 1911, de « Renée Dauchain » à Amiens « bonne fête »
Le 1 janvier 1912, de « Bonnet » à Crecy sur serre (Aisne) « bonjour d’Amiens ».
Le 1 avril 1912, de « Mr. Bonne » à Sedan  (Ardennes) « bon souvenir ».
Le 7 aout 1912, de « Mr. Joseph » à Versailles, (Seine et Oise) « bien le bonjour »
Le 3 décembre 1912, de « Renée Dauchain » à Amiens (Somme) « affectueux souvenirs ».
Le 2 avril 1913, de « Jules Cauderlier » à Paris (Seine) « passerai gare Amiens 10h40 dimanche allant chercher Adèle Repasserons lundi 15h20 si vous pouvez pénétrer sur quai serons contents vous voir vous embrassons tous ».
Le 29 juin 1913, de « Paul, Juliette, Gaston, Annick » à Boulogne sur mer (pas de Calais) « amitiés et souvenir de Boulogne »
Le 20 juillet 1913, de « Mr. Carette » du Havre (Seine inférieure) « souvenir »
Le 30 juillet 1913, de « Marie » à Dinard, (côtes du nord) « souvenir affectueux bons baisers (marie G?) »
Le 5 aout 1913, de « Mr. Carette » à Lourdes (Hautes Pyrénées) « respectueux souvenirs ».
Le 10 aout 1913, de signé « Marie, Annick, Juliette, Gaston » à Dinan (côtes du nord) « bon souvenir bons baisers »
Le 20 aout 1913, de « Mr. Plau » à Laval (Mayenne) « chers amis nous sommes partis de Dinan à12h40 pour Laval où nous séjournons jusqu'à lundi matin 7h40 après avoir passé quelques heures à Paris nous reprendrons le train de 6h qui nous amènera à Amiens à 8h22 ou 8h43 Donc à bientôt cordiale poignée de main de tous ».
Le 7 septembre, de « Mme Douchain et Denis » de passage à Versailles (seine et oise) « bien le bonjour ».
Le 16 octobre1913, de « Mr. Deuche » à Chalons sur marne (Marne) « affecté à Soissons bon souvenir »
Le 11 novembre 1913, de « Mr Marette » à Dieppe (Seine inférieure) « meilleur souvenir d'un dieppois ».
Le 1 décembre 1913, de « Dewingle Albert » à Brest hôpital temporaire n°4 (Finistère) « cher oncle et tante j'ai eu une lettre de marraine ce matin elle me dit que parrain est sur le point de partir et qu'elle n'a pas reçu de nouvelles de vous depuis une quinzaine de jours ».
Le 8 décembre 1913, de « Dewingle Albert » à Brest hôpital temporaire n°4 (Finistère)  « cher oncle chère tante j'ai reçu une lettre de monsieur Lestoille canonne le marchand de vin en face de chez nous qui ait parti avant que les allemands entre dans le nord il est villa primevère Royan Charentes inf ».
Le 25 décembre 1913, de « Delmas » au Tréport (seine Inférieure) « mon cher monsieur Cattiaux, je vous remercie de votre lettre qui m'est juste arrivée au moment où l'administration me faisait connaitre que j'étais primé pour le centre (ce qui n'était pas une nouvelle pour moi) et me demandait si j'étais disposé à accepter un autre poste à Amiens. Je lui ai fait réponse qu'à défaut du centre je n'accepterai que le Nord. Merci des renseignements que vous avez bien voulu me donner et au cas où vous auriez connaissance qu'à nouveau je suis primé, soyez bon de me le dire. Recevez cher Monsieur Cattiaux une bonne poignée de main et l'expression de mes meilleurs souhaits pour 1914».
Le 15 mars 1914, de « Jules Cauderlier » à Boulogne sur mer (Pas de Calais) « suis nommé Paris central à partir du 23 vous embrassons tous deux ».
Le 23 mars et le 3 mai 1914, de « Mr Bourguignon » de st Quentin (Aisne) sincères remerciements et un bonjour de St Quentin.
Le 12 novembre et le 18 novembre 1914, de « Dewingle Albert » à Brest hôpital temporaire n°4 (Finistère) « bonjour tout va bien je compte bientôt pouvoir aller vous voir votre neveu- je marche sans bâton et sans éprouver aucune douleur votre neveu qui vous embrasse ».
Le 6 décembre 1914, de « Soudagne E » de Dijon (côte d’or), 26e  dragon 12 escadrons 1er groupe (Côte d'or). « Bien cordiale poignée de main d'un cavalier désolé de ne pouvoir s'occuper de l'état 61 B ».
Le 9 décembre 1914, de « Paul Cauderlier » à Rochefort /mer (Charente maritime), soldat au 361 hôpital Charles salle 10 « cher et chère tante je viens de recevoir votre lettre datée du  3 novembre elle n'avait pas été ouverte je vous remercie de tout cœur je reçois pas mal de  lettres et de cartes ici ce qui me …je continue d'aller mieux recevez tous deux mes meilleurs baisers».
Le 13 décembre 1914, de « Morère », caporal 138e T affecté à la 167 e infanterie 26 e compagnie, de Toul caserne Thouvenot (Meurthe et Moselle)  « cher cousin cousine Je suis toujours à Toul, 300 territoriaux ont été désigné pour partir renforcer et compléter les vides qui se produisent au 167e, mais je ne suis pas de ce premier départ. Un grand mouvement se dessine de ce côté et nous allons prendre l'offensive si possible. Toul est évacué ou à peu près et c'est maintenant une ville morte. J'ai reçu de bonnes nouvelles de toute la famille Delage Morère. En vous souhaitant bonne santé je vous prie de croire à mes sentiments bien affectueux ».
Le 17 décembre 1914, de « Dewingle Albert » à Brest hôpital temporaire n°4 (Finistère) « cher oncle et tante je compte pouvoir aller passer quelques jours avec marraine Laure pour Amiens il m'est  donné jours de permission je suis toujours en bonne santé ».
Le 30 décembre 1914, de « Paul Cauderlier » à Guingamp dépôt 361 30cie (côtes du nord) « cher oncle chère tante me voici installé à Guingamp mon voyage s'est bien effectué nous sommes logés ….j'ai quitté toute la famille et amis en bonne santé en attendant le plaisir de vous lire recevez mes meilleurs baisers ».
Le 1 janvier 1915, de « Morère »  138e Territorial 26ie compagnie à Toul (Meurthe et Moselle)  « vous  offre cher cousin et cousine au commencement de l'année 1915 mes meilleurs vœux et souhaits pour vous et tous ceux qui vous sont chers et vous renouvelle mes remerciements pour les agréables moments passés près de vous. Désigné pour le front dans un régiment de réserve j'espère profiter de la nouvelle circulaire du ministre de la guerre  rappelant aux commandants de région que les pères de quatre enfants doivent rester dans l'armée territoriale sans considération de classes. Je vous prie de croire à l'assurance de mes sentiments bien affectueux ».
Le 6 janvier 1915, de « Paul Cauderlier » à Guingamp soldat au 361 30cie dépôt (côtes du nord) « cher oncle je viens de recevoir ta lettre à l'instant et je m'empresse d'y répondre je te remercie de tous cœurs de tes souhaits d'étrennes que j'ai reçu avec plaisir je n'avais jamais douté un instant de ta générosité malheureusement beaucoup de camarades du nord n'ont pas la chance comme moi de posséder un oncle comme toi J'ai écrit à Senonches merci mon cher oncle mes meilleurs baisers ».
Le 20 janvier 1915, de « Paul Cauderlier » à Guingamp soldat au 361 30cie dépôt (côtes du nord) « mon cher oncle je viens de recevoir ta lettre qui me fait grand plaisir …de tout cœur …d'adresser une longue lettre reçois mes meilleurs baisers ».
Le 8 février 1915, de « Paul Cauderlier » à Guingamp soldat au 261 30cie « cher oncle je vais sans doute retourner (au feu)..d'ici peu lorsque je serai au front je te ferai parvenir mon adresse afin que nous puissions correspondre ensemble. Dans ta prochaine lettre tu voudras bien me dire si Henri est parti pour le front merci mon cher oncle mes meilleurs baisers ».
Le 12 février 1915, de « Jules Cauderlier » à Boulogne sur mer (Pas de calais) « un gros garçon accouchement très difficile mais aujourd'hui mère et enfant très bien ».
Le 26 février 1915, de « Paul Cauderlier » à  Guingamp dépôt 161 30cie (côtes du nord) « cher oncle et chère tante je vais quitter le dépôt incessamment pour partir au 161e lorsque je serai arrivé à destination je vous ferai parvenir mon adresse; Jules vous aura sans doute..;de la naissance de son fils , il y a 8 jours que j'ai eu de ses nouvelles. Je vais prévenir laure de mon départ. J'espère que ma tante est bien guérie de sa grippe. Recevez mes meilleurs baisers ».
Le 6 septembre 1915, de « Laure » de passage à Rufec en (Charente) « chers parents Je viens d'écrire à Mme Desmars, de vous envoyer un petit colis de poires, elle nous en a envoyé un dernièrement et nous avons été content de gouter aux fruits du jardin. L'adresse que je demandais à mère est celle de la modiste qui habite au-dessus du bazar. Je vous écrirai plus longuement Bons baisers à tous deux ».
Le 24 septembre 1915, de « Renée D » « un bon souvenir bonjour »
Entre 1916 et1918, d’ « Élise » « Ma chère Blanche je te fais expédier ce jour 1 petit colis, tu voudras bien le vérifier avant d'en prendre livraison. J'espère que vous êtes tous deux en bonne santé. Cela va à peu près ici et j'espère que notre séjour à Chatel fera du bien aux petits. Nous pensons rentrer dimanche......;(ou Lundi) ...; moi vous embrassons bien fort ».

8 rue jean Lafontaine

Vue générale côté nord

Vue générale prise de la tour St-Crépin

 

Le 10 septembre 1918, d’ « A. Trouillet », 103 e batt du 1er RAP le Havre en détachement à St Vigor (seine inférieure) « cher oncle chère tante chère cousine et cher petit Maurice, Je viens de lire dans le  matin un article la classe 1897, les pères de cinq enfants agriculteurs devront du 1er au 10 octobre être mobilisés à la terre, sur notre demande. Je suis bien ennuyé car j'avais écrit à un ami de l’Eure et loir pour aller chez lui et il ne me répond plus je me demande s'il est changé d'avis, ça m'embête car je ne sais vraiment pas où m'adresser. Si la capote que j'avais laissée à Château y est restée vous voudriez bien me le dire car j'en aurai besoin avant ma libération. Je viens d'avoir par un prisonnier des nouvelles d'Amélie elle aurait voulu venir mais vaut mieux quelle attende encore un peu, ils sont tous en bonne santé. Dans l'attente de vous lire, je vous embrasse de tout cœur votre neveu dévoué.
Le 21 octobre 1919, de « Mme Dorleans » (47 rue du sergent Blandan) Nancy (Meurthe et Moselle) « un amical bonjour de Nancy et bons baisers ».
Le 5 novembre 1921, de « Philippio » à Fère en Tardenois (Aisne) « monsieur l'entreposeur Afin de m'éviter un voyage inutile à Château, je vous serais très reconnaissante de bien vouloir me dire que je pourrai me rendre à l'entrepôt. Inutile de vous dire que le plus tôt sera le meilleur, car il ne me reste que quelques paquets de Tabac. Veuillez agréer monsieur l'expression de mes sentiments très respectueux et remerciements »
Le 30 aout 1922, de « Godeber » à Amiens (somme) « bonjour d’Amiens ».
Le 22 aout 1923, de « Mr. Bricolo » à Royan st Georges de Didone (Charente inférieure) « cordiales amitiés ».

38 rue st Vincent

En 1924, de Laure, Maurice, Henri à Ouistreham (Calvados) « bonnes embrassades »
Le 22 juin 1926, de « Leduc » à Trouville (calvados) « souvenir de Trouville ».
Le 17 juillet 1926, de « Marie G » à Biarritz (Pyrénées atlantiques) « bon souvenir ».
Le 1 octobre 1926, de « Mr.Tuilleux » à Beaune (Côte d'or) « en vendange »
Le 25 mars 1927, de Maurice Dervillé commence à écrire à ses grands-parents à 10 ans il était au fort de Latte au cap Fréhel « bons baisers de "P" nous trois ».
Le 17 juillet 1930, de Maurice Dervillé depuis St Privat en (Corrèze) « chers grands parents, nous sommes arrivés à bon port hier comme il était prévu. Nous avons fait le 1er jour 440 km et le 2ième il ne nous restait plus que 120 km mais en montagnes. Maman vous a envoyé 2 cartes une de Pierre Buffières où nous avons diné et couché et une autre D'Uzerche (beau site) meilleures embrassades » (écrit au crayon).
Le 11 juin 1932, de « E.Etienne Mr Tierry » à Amiens (Somme) « amicale pensée M Tierry ».
Le 5 juillet 1933 « chers grands Parents, notre séjour à Elven se prolonge de plus en plus et nous n'en repartirons que lundi pour arriver à Mantes ce même jour pour diner. En attendant le bonheur de vous voir recevez chers grands parents nos meilleurs baisers » de Maurice petit fils et Laure leur fille.
Le 18 juillet 1933, Laure, Maurice et Henri à Bénodet (Finistère) « Chers parents, nous voici arrivés à Bénodet par un temps superbe. (gentille petite plage) Nous pensons séjourner une quinzaine de jours à l'hôtel Belle Vue. Je vous espère en bonne santé donnez-nous de vos nouvelles. Bons baisers de nous trois. Adresse hôtel belle vue Bénodet (Finistère) ».
Le 1 aout 1933, toute la famille en vacances : Laure, Berthe, André, Evelyne, Maurice, Lucile, Henri, est à Quiberon (Morbihan).
C’est le dernier courrier retrouvé donc 2 ans avant le décès de Jean Baptiste Alexandre Cattiaux. Quand à Blanche Pruvot, devenue veuve, elle vivra dans cette maison, du 38 rue St Vincent, jusque vers les années 1950 avant d’entrer en maison de retraite à Moret sur loing où elle décédera en 1953, ensuite cette demeure sera louée et enfin vendue en 1968.


Lieu de sépulture à Mantes (78)


Décès 1 mai 1935 Jean Baptiste Alexandre CATTIAUX  à 75 ans
Inhumé à Mantes (78)

Aspect du cimetière

Décès 1 mars 1953 Moret sur Loing Blanche Laure PRUVOT  à 88 ans
Inhumé à Mantes (78)

Suivent le parcours en France et les arbres généalogiques


Leur parcours en France


Déplacement dans 5 départements du Nord de la France.


Les arbres Généalogiques



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